Soixante-huitième tentative de Transmission où Christophe Labussière prétend qu’il va bien, raconte ses histoires d’amours et découvre qu’elles ne s’éteignent jamais, rêve de s’égarer dans une clairière, confesse aimer les voix, et quelles voix, et donne des nouvelles de l’une d’entre elle, peut-être la plus belle.

Soixante-quatrième tentative de Transmission où Christophe Labussière continue de lutter contre le confinement sans que l’on parvienne vraiment à savoir lequel des deux gagnera à la fin, où l’on regarde tourner des carrousels, courir des lolitas, où l’on parle de de vies, de mélancolie, de chant d’amour, où l’on entend un curieux accent espagnol, et où l’on ne se lasse pas d’énumérer des acronymes.

Soixantième-et-unième tentative de transmission où Christophe Labussière trouve des choses irrésistibles, se demande comment résister à la tentation, s’amourache d’un poulain, prétend avoir trouvé le chaînon manquant entre gothique et shoegaze, pense être le seul à écouter certains groupes, et continue à voir New Order partout (mais il a sûrement raison).

Cinquante-huitième tentative de transmission où Christophe Labussière prétend reconnaître les disques dès la première note (et vous explique comment), où l’on avoue ne pas aimer Nick Cave autant qu’avant, où l’on dévoile aimer Jean-Luc De Meyer démesurément, où l’on part au Brésil découvrir des artistes français, où l’on parle imprimante 3D, et où l’on prend une fois de plus un plaisir certain à mélanger les nationalités des artistes celle de leurs labels.

Cinquante-cinquième tentative de transmission où Christophe Labussière enchaîne une série de nouveautés toutes fraîches avec de belles surprises, où l'on écoute des choses complexes mais aussi immédiates, où l'on effleure du soyeux et des bijoux, et où l'on vous invite à vous intéresser à une vidéo et à une pochette, et où l'on croit rencontrer un acteur de film américain.