Deux-cent-quarante-sixième Tentative de Transmission que Bertrand Hamonou débute par un hommage, poursuit avec une recette, où il nous présente une bonne puis une très vilaine surprise, vous encourage à vous procurer un disque en particulier, reconnait avoir honte de recycler ses podcasts passés, se demande s’il ne passe pas à côté de monuments sonores, présente un groupe dont la dernière lettre du nom est d’une importance capitale, et s’offre un souvenir d’été de près de trente ans en arrière.

Deux-cent-quarante-troisième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou nous explique qu’il n’y a pas d’erreur ni d’oubli dans la numérotation de son podcast, affirme qu’il a deux disques coups de coeur ex aequo ce mois-ci, reconnait avoir confondus deux formations dont les noms sont très proches, met le paquet côté pédales d’effets, passe un groupe qui salit volontairement sa prochaine production et sent que ça se corse à mi-parcours de sa nouvelle playlist garantie 100% 2025.

Deux-cent-trente-neuvième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou évoque sa surprise de l’année, compte les jours, se perds dans son verre de Canada Dry, parle d’un projet intergénérationnel, d’un autre qui l’embrouille avec son nouvel album, passe un disque posthume puis un groupe qui peine à sortir son premier véritable album, et termine avec une artiste dont les productions lui rappellent un projet mythique.

Deux-cent-trente-sixième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou nous invite à ne pas nous enflammer tout de suite, oublie un W, passe un groupe à propos duquel toute occasion est la bonne pour le faire, regrette d'avoir manqué deux formations au programme et qui étaient en concert le mois dernier, a un coup de coeur pour un nouveau venu dont les références l'auraient poussé à passer son chemin s'il n'avait pas choisi de l'écouter malgré tout, et où il est question de gros sons de guitares samplées, de reprises improbables et de vidéos choc.

Deux-cent-trente-troisième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou change de façon de faire et intercale l’électronique entre les guitares du programme, au cours duquel on rencontre une peintre et écrivaine, un talentueux photographe, un musicien fantasque et le martin des berges, où il est question d’un grand voyage entre Lille et le Japon, d’un groupe qui signe un contrat avec un label tandis qu’un autre est lâché par le sien, et passe un groupe qu’il réalise écouter depuis déjà vingt ans.