Cent-vingt-neuvième Tentative de Transmission et première de la rentrée où Christophe Labussière semble plutôt en forme et passe quatorze titres dont onze nouveautés parmi lesquelles une "quasi-exclu" et une démo, paraît contrarié par un nouveau single qui l’aurait profondément déçu, s’enthousiasme sur un titre qui lui en rappelle un autre pour ensuite en passer une reprise et, fait mine d’être vexé du succès de son précédent podcast.

Cent-vingt-sixième Tentative de Transmission où Christophe Labussière choisit de s'éclipser pour profiter au mieux, avec vous, de cette playlist de l’été, celle de tous les étés, les siens, les vôtres, les nôtres, les plus anciens et tous les prochains.

Cent-vingt-troisième Tentative de Transmission où Christophe Labussière déplore des "Woo ooh ooh", conteste le statut de "majeur" d'un groupe... majeur, se permet de dire qu'un artiste construit son son au détriment du bon sens, parle de Manchester sans prononcer le nom de New Order, et raconte une anecdote un poil gênante relative à un séjour à Tokyo.

Cent-vingtième Tentative de Transmission où Christophe Labussière se demande si les gestes barrières peuvent être dissonants, si la septième vague est la nouvelle vague, si il y a un lien entre "Stranger Things" et "Vision Thing", si le post-punk peut groover et le punk devenir new-wave, si la plage et la terreur font bon ménage, et, si l'on est pur et simple à chaque fois.

Cent-seizième Tentative de Transmission où Christophe Labussière commence en parlant d'un groupe qu'il n'a pas écouté, considère un side-project moins intéressant que le projet original, se permet de qualifier une formation de "faussaires", donne des leçons de plagiat, n'hésite pas à dire d'un musicien qu'il ne fait rien, soupçonne des guitaristes de gesticuler sur une bande son, raconte avoir écouté un disque qui l'a passablement ennuyé, et, contre toute attente, raconte de quelle façon s'est passé son dernier coup de cœur.