Cent-quatre-vingt-treizième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou a conscience d’atteindre un record, propose une playlist trustée par les rééditions, nous précise ce qu’il aime avoir à portée de main, partage un gimmick qu’il peut garder en tête plusieurs jours d’affilée et dévoile son fil rouge de ce début d’année.

Cent-quatre-vingt-douzième Tentative de Transmission où Christophe Labussière prétend avoir préparé une playlist un peu différente des habituelles, affirmant y avoir programmé beaucoup de nouveautés, mais pas spécialement de découvertes, l'ayant supposément constituée quasiment uniquement de "grands", de "gros", d’importants, se dispensant des habituels tut’ tut’ tut’ Bandcamp, la consacrant essentiellement à des artistes qui nous accompagnent depuis quelques décennies... la qualifiant avec la plus grande aisance de musique de grands pour de grandes personnes. Doit-on le croire ?

Cent-quatre-vingt-onzième Tentative de Transmission où Fred Thébault, pour la Saint-Valentin, vous propose une série de morceaux glanés aux quatre coins de la planète, tous basés sur l'amour : l'amour fraternel, l'amour vache, l'amour de la Vérité, l'amour du risque, l'amour des éclairs au chocolat à la crème de pistache au piment d'Espelette, l'amour toujours, l'amour de la haine, l'amour de la douleur et l'amour de la tristesse.

Cent-quatre-vingt-dixième Tentative de Transmission où Bertrand Hamonou fait des calculs mais à du mal à les tenir à jour, où il est question d’une énigme, d’un caméléon orange, de prose et de poésie qui se passerait des mots, puis de phrases à retenir dans l'ordre, de statistiques et de rattrapages, et découvre avec surprise qu’il n’a jamais passé un groupe qu’il aurait pourtant juré avoir déjà inclus dans une précédente Tentative.

Cent-quatre-vingt-neuvième tentative de transmission où Christophe Labussière démarre par une longue introduction, pas forcément très intéressante, prend ses aises en amputant deux morceaux de leur dernière minute, reconnaît en baissant la voix faire "un peu n'importe quoi aujourd'hui", découvre une formation française avec une vingtaine d'années de retard et se trompe en en comptant les albums.